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O. Dessyme

"Je suis un romantique attardé, sauvé par le cynisme" 

E.M. Cioran.​​​​​​​​​

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"Tu ne voyais même pas ce que ça voulait dire quelqu'un qui tient ton regard aussi fort"
W. Sheller


 

L'un a décidé de fuir un amour impossible, l'autre de rejoindre sa femme pour de dernières vacances. Le destin va les rapprocher, instaurer leur rencontre

"La beauté m'a retenu, plus puissante que tout, sublimant ma douleur et mes larmes... L'amour, toujours, au coeur même de la peur. Lui qui me porte encore. L'amour pour l'amour. L'amour d'avoir aimé, l'amour d'aimer encore, envers et contre tout. Un amour sans objet, désormais, ne se nourrissant plus que de lui-même, de ce qui aurait pu être, de ce qui aurait dû être, ressassant l'ascension vers l'extase avortée, volée, arrachée, brûlée par le bonheur, sous le soleil d'Icare... Pas mon truc, le bonheur...

L'amour, oui, mais le bonheur... "

 

"L’amour, on n’a pas idée, comme ça fait mal, et comme c’est mal fait…" J-C Vannier


 

Côme désire… C'est le mieux qu'il puisse faire…

Il s'en accommode, jusqu'au pire, inespéré…

“L'amour n'est pas en lui. L'amour l'investi, venant d'un absolu où nul n'a accès, que nul ne peut comprendre, encore moins décider. C'est l'amour qui décide, qui se jette sur toi, te déchire, t'élève et te lâche. De l'amour tu es né ; par désamour tu meurs.Lui qui décide. Tu n'y es pour rien. Tu peux y résister ; quelques un y parviennent et meurent jusqu'à leur mort, ayant vécu vacants, refusant la douleur, s'isolant dans la peur, préférant leur absurde labeur, leurs règles, leurs devoirs…”

 

 

 

 

 

"L'AFFÛT" (inédit pdf.)

"C’était un beau jour pour mourir, mais les beaux jours il n’avait plus très envie de mourir. Il avait erré, comme toujours, la même chose. Seul le poids de son inexistence lui rappelait sa présence comme un ver poisseux. Il se sentait inutilisable, jetable, mais pas assez encombrant pour qu’on se donne la peine de le faire. Il flottait comme un spectre affolé d’approcher les humains. Les humaines plus précisément. Les gens lui faisaient mal. Le doute violait son présent à grands coups de soleil et de robes légères.

Vivre pour lui, avait dit la Dame. Il s’était rasé, la barbe. Il avait dû le faire pour lui vu qu’il n’y avait personne d’autre."

 

 

 

 

 

Temps d'Attente;  pdf

Les ravages
de Synope pdf

Carnets d'un homme décevant

1984
1985
1986
1987

1988 Le désir m'effraie

01 Plus d'un quart de siècle 03-01-88

02 Florence 15-05-88

03 ??? 01-07-88

(L'incendie de Gromeck'land (2009) n'a pas permis la dactylographie des autres années)​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​

1988
1997
1998
1999

Les ravages de Synope
Version musicale (O. Dessyme/Normance)

Ravages musicale
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